Témoignage

Noémie Quéré, Chargée des programmes Arménie / Mali / bénin au Département des Hauts-de-Seine

Je suis arrivée un peu (beaucoup ?) par hasard sur l’AICT, après un master très ciblé du même nom choisi en partie pour retarder mon entrée sur le marché du travail…

Quelques temps après ma prise de poste, j’ai souhaité rejoindre le réseau ARRICOD pour échanger avec d’autres professionnels et surtout trouver des réponses à tout un tas de questions, pratiques ou plus stratégiques, sur lesquelles je butais. Il faut dire que l’on ne trouve pas toujours un appui très probant auprès de nos collègues, l’AICT suscitant encore beaucoup d’incompréhensions et étant très mal connue de nos services supports.
L’ARRICOD apporte la possibilité de partager problématiques et réussites, d’expérimenter, d’oublier ses frustrations, d’imaginer des scenarii qu’on ne mettra peut-être jamais en place dans notre réalité … mais ça fait du bien !

Les universités annuelles apportent un bol d’air dans notre quotidien et permettent de prendre du recul face à nos pratiques. Au fur et à mesure des années, on attend ce rdv avec impatience : mais qu’auront-ils imaginé cette fois-ci ? Je suis à chaque fois retournée dans ma collectivité avec un regain de motivation et des billes concrètes grâce aux ateliers (les fiches pratiques sont d’ailleurs disponibles sur le site).

J’ai intégré le CA en 2017, prête à m’impliquer davantage : organiser la réflexion sur le métier des agents de l’AICT, communiquer, mobiliser, défendre des valeurs. Chacun s’investit à la hauteur de ses disponibilités du moment, de ses aspirations, de son expérience. Il ne faut pas oublier que le réseau ne vit que grâce à l’engagement de bénévoles.
Pour poursuivre la dynamique engagée il y a 25 ans et continuer collectivement à enrichir nos pratiques, nous attendons de nouveaux administrateurs : toutes les candidatures pour intégrer le CA seront les bienvenues à la prochaine Assemblée générale en juillet 2019 !